La fin d’un monde ?
L’organisation de notre CCI, telle que nous la connaissons depuis tant d’années, n’aurait plus que 4 mois à vivre !
Au 1er janvier 2021, nos écoles seront dispatchées dans des EESC, les fonctions support seront rassemblées au sein du GIE avec, pour les agents, des conditions de travail détériorées, des avantages perdus, des pressions exercées.
En dépit de nos demandes répétées, alors que la pandémie a fortement perturbé les discussions et l’organisation du travail, alors que de nombreuses inconnues demeurent, la Direction a refusé de repousser la mise en œuvre de sa réforme délétère.
Le principe de la DUE (Décision Unilatérale de l’Employeur) lui a permis de mettre en place de pseudo « discussions » (puisque la dimension « unilatérale » exclut les négociations) afin de donner l’illusion d’écouter les agents et de tenter d’acheter la paix sociale à moindre coût. Au travers de quelques réunions et groupes de travail « collaborateurs », et à grand renfort de communication, elle a laissé croire aux agents que leurs inquiétudes et leurs préconisations seraient prises en compte. Loin s’en faut ! Les organisations syndicales ont dû arracher le droit d’y participer, comme si leur présence gênait ! Cherchez l’erreur !
Ensuite, sous couvert de dialogue social, en multipliant les groupes de travail stériles, en mobilisant vos représentants devant leurs écrans de longues heures pour rien, la Direction a sans doute pensé nous épuiser et nous décourager. Il n’en est rien, même si nous condamnons ces pratiques dilatoires.
Finalement, au terme de tous ces échanges qui n’en portaient que le nom, à toutes les revendications légitimes des agents que nous avons portées et défendues en vain, c’est une fin de non-recevoir que la direction nous a opposée. Juste avant la trêve des congés estivaux, elle nous a finalement livré ses DUE (pour les EESC et le GIE) qui ne reprennent que quelques miettes des demandes du personnel. Quelle mascarade !
Cette rentrée nous apportera-t-elle de meilleures nouvelles ? La Direction, fière de la mobilisation exceptionnelle de ses agents durant la crise sanitaire, saura-t-elle faire un vrai geste vers eux ? A l’heure où notre pays tout entier, et notre Chambre en particulier, dans tous ses services, se préparent à une rentrée atypique et compliquée, nous espérons que la Direction aura pris le temps de mesurer l’impact désastreux que ses décisions ont eu et auront sur le moral de ses troupes et saura en tirer les conséquences adéquates. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
L’organisation de notre CCI, telle que nous la connaissons depuis tant d’années, n’aurait plus que 4 mois à vivre !
Au 1er janvier 2021, nos écoles seront dispatchées dans des EESC, les fonctions support seront rassemblées au sein du GIE avec, pour les agents, des conditions de travail détériorées, des avantages perdus, des pressions exercées.
En dépit de nos demandes répétées, alors que la pandémie a fortement perturbé les discussions et l’organisation du travail, alors que de nombreuses inconnues demeurent, la Direction a refusé de repousser la mise en œuvre de sa réforme délétère.
Le principe de la DUE (Décision Unilatérale de l’Employeur) lui a permis de mettre en place de pseudo « discussions » (puisque la dimension « unilatérale » exclut les négociations) afin de donner l’illusion d’écouter les agents et de tenter d’acheter la paix sociale à moindre coût. Au travers de quelques réunions et groupes de travail « collaborateurs », et à grand renfort de communication, elle a laissé croire aux agents que leurs inquiétudes et leurs préconisations seraient prises en compte. Loin s’en faut ! Les organisations syndicales ont dû arracher le droit d’y participer, comme si leur présence gênait ! Cherchez l’erreur !
Ensuite, sous couvert de dialogue social, en multipliant les groupes de travail stériles, en mobilisant vos représentants devant leurs écrans de longues heures pour rien, la Direction a sans doute pensé nous épuiser et nous décourager. Il n’en est rien, même si nous condamnons ces pratiques dilatoires.
Finalement, au terme de tous ces échanges qui n’en portaient que le nom, à toutes les revendications légitimes des agents que nous avons portées et défendues en vain, c’est une fin de non-recevoir que la direction nous a opposée. Juste avant la trêve des congés estivaux, elle nous a finalement livré ses DUE (pour les EESC et le GIE) qui ne reprennent que quelques miettes des demandes du personnel. Quelle mascarade !
Cette rentrée nous apportera-t-elle de meilleures nouvelles ? La Direction, fière de la mobilisation exceptionnelle de ses agents durant la crise sanitaire, saura-t-elle faire un vrai geste vers eux ? A l’heure où notre pays tout entier, et notre Chambre en particulier, dans tous ses services, se préparent à une rentrée atypique et compliquée, nous espérons que la Direction aura pris le temps de mesurer l’impact désastreux que ses décisions ont eu et auront sur le moral de ses troupes et saura en tirer les conséquences adéquates. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
Les négociations nationales au ralenti
Une convention collective nationale est négociée depuis plusieurs mois. Pourtant, la direction n’attend pas la fin de ces discussions pour la balayer d’un revers de main.
Pour les EESC ? Ce sera la convention collective de l’enseignement privé indépendant !
Pour le GIE ? Ce sera la convention Syntec !
Comment la négociation de cette convention pourra-t-elle aboutir favorablement alors que, autour de la table, certains sont prêts à accepter des conditions de travail au rabais et que d’autres semblent prendre un malin plaisir à atermoyer ?
Une convention collective nationale est négociée depuis plusieurs mois. Pourtant, la direction n’attend pas la fin de ces discussions pour la balayer d’un revers de main.
Pour les EESC ? Ce sera la convention collective de l’enseignement privé indépendant !
Pour le GIE ? Ce sera la convention Syntec !
Comment la négociation de cette convention pourra-t-elle aboutir favorablement alors que, autour de la table, certains sont prêts à accepter des conditions de travail au rabais et que d’autres semblent prendre un malin plaisir à atermoyer ?
La CGT, fidèle à ses engagements, continuera à défendre coûte que coûte, les intérêts des agents sans se laisser manipuler ni séduire par le chant trompeur des sirènes ! Plus que jamais, nous devons être prêts à nous mobiliser. Rejoignez la CGT !
Un article du syndicat CGT CCI Paris IDF Chambre de Commerce et d'Industrie Paris IDF
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