1 juillet 2011

GPEC - Gestion des carrieres - Gestion des compétences - Entretien professionnel : pour quoi faire ?

Employé, agent de maitrise, cadre ...
Dans les soutes,
Vous avez  écopé
 aujourd'hui
Vous n'avez pas à écoper

Chronique d'un naufrage : Les raisons des contre-performances sont découvertes depuis les années 50. Aussi vieux soient-ils, ces principes sont toujours et encore d’actualité.


Loi de Parkinson : Publiée en 1958 par Cyril Northcote Parkinson (historien naval anglais), “La loi de Parkinson” indique avec justesse qu’un individu à tendance à multiplier ses subordonnés. Nous le voyons tous dans nos entreprises qu’un moyen commode de prendre de l’influence est d’avoir de plus en plus de personnes sous ses ordres. Si l’entreprise n’offre pas suffisamment de progression hiérarchique, le subterfuge consiste à injecter artificiellement des subordonnés pas forcément utiles.
Son corolaire : le lancement d’une optimisation et simplification générale des procédures est nécessaire régulièrement avec, par exemple, pour objectif de réduire des 20% les gaspillages. C’est ainsi que dans nos grandes entreprises sont lancées des tâches d’optimisation sous le doux nom de plan –20% ou plan –30%, de comité d’efficacité etc. tout cela à coup de cabinet extérieurs hors de prix. .....
CF les RGPP, Audit Berger, CAP2015

Le principe de Peter : Publié en 1969 par Laurence J. Peter (Docteur en Enseignement et directeur d’Ecole) et Raymond Hull, “Le principe de Peter” indique qu’un individu progresse dans l’entreprise jusqu’à ce qu’il devienne incompétent. Ce qui implique que plus on monte dans la hiérarchie plus on risque de trouver des incompétents ! Que faire d’eux lorsque leur incompétence est révélée ? Peter nous donne la solution, toujours très utilisée de nos jours : promouvoir l’incompétent à un poste prestigieux en principe mais totalement inutile.

Le principe de Dilbert  : Publié en 1997, “Le principe de Dilbert” de Scott Adams (diplômé d’économie et de management a été consultant pour Logitech) pousse le principe de Peter un peu plus loin car il constate qu’avec le temps, les constats de Peter se sont aggravés. « Les gens les moins compétents sont systématiquement affectés aux postes où ils risquent de causer le moins de dégâts : l’encadrement. », contrairement à Peter, le constat de Scott Adams est que les incompétents sont automatiquement promus aux postes d’encadrement car ils y feraient moins de dégâts. Ce n’est pas incompatible avec le principe de Peter, mais présuppose que les incompétents sont si nombreux et si vastement incompétents qu’il est nécessaire de les évincer des postes dangereux et donc, de les mettre à de vrais postes où leur pouvoir de nuisance sera moindre.
 Plus de détails ?  C'est avec Marianne en cliquant par là
Les incompétents pensent que la seule variable d’ajustement qu’ils ont en cas de crise est le nombre d’employés
Naufragés de CAP2015 : ressaisissez la barre du paquebot

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